Le projet

Portraits croisés

Stéphanie

Depuis que Stéphanie a découvert le voyage à vélo, il est difficile de l’arracher à sa selle (ou au confort d’un siège de vélo couché) !

Dotée d’un enthousiasme inextinguible et d’une volonté de fer, elle n’a jamais eu peur des projets demandant de l’ambition.

Aller au bout du continent à vélo représente certainement le rêve d’une vie, mais au delà de l’appel des grands espaces et des paysages magnifiques, Stéphanie est profondément humaniste et c’est son intérêt pour la vie ainsi que la construction d’un monde meilleur qui lui permettront d’aller toujours plus loin.

“Le monde est un livre, et ceux qui ne voyagent pas n’en lisent qu’une page.”
Saint Augustin

Claude

Tout commença quand, à l’été 2014, pour aller à un mariage début août en Charente, Claude proposa à Steph “Et si on y allait à vélo ?”.

Claude est toujours en recherche de nouveaux apprentissages et découvertes. Talentueux avec son esprit comme avec ses mains, il profite de ce voyage pour apprendre une nouvelle langue en quelques mois (le turc) ou encore, devenir un as de la mécanique du tandem.

Attentif aux autres, les rencontres faites lors de ce voyage le nourriront dans sa compréhension de la complexité du monde.

Itinéraire théorique

Voici l’itinéraire tel qu’on l’a prévu depuis notre canapé !
De l’Europe jusqu’aux portes de l’Asie en Turquie, nos roues devraient ensuite nous emmener (si les gardes-frontières nous laissent passer !) sur la suite de la route de la soie jusqu’en Chine puis en Asie du Sud Est. Destination théorique finale : Singapour (bah oui, il n’y a plus de terre après…).
Pour le moteur, on privilégiera évidemment nos gambettes sur le tandem mais on ne s’interdira pas des petits coups de booster en prenant le bus, le train ou encore un camion-stop !
Question timing, on s’est donné un an pour tout ça (Stéphanie trouve ça un peu ambitieux, elle espère se tromper !).
Et quid du retour nous demanderont certains ? Bonne question, on ne sait pas encore ! Si on arrive bien jusqu’à Singapour, l’avion et le cargo seront nos options. La 1ère est (trop ?) rapide, la seconde plus lente et plus onéreuse mais peut-être mieux adaptée à une transition en douceur… On a un peu le temps d’y penser, on exclut pas de demander à une compagnie de cargo de nous sponsoriser !
Cet itinéraire n’est évidemment que très théorique puisque nous seront soumis à de nombreux aléas : vitesse de pédalage (difficile à prédire), fréquence des touristas, envies de se poser à certains endroits, visa refusé (probabilité assez forte pour la Chine), motivation à enchaîner les cols… Bref, l’itinéraire réel n’aura peut-être rien à voir et ce sera très bien quand même ! 🙂 Et qui sait, peut-être qu’en Italie, on aura trop mal aux fesses et on décidera de faire demi-tour !
Comme dit Stevenson, « L’important, ce n’est pas la destination, mais le voyage en lui-même » (tout de suite avec une citation, ça rend mieux !).
vélo
bateau
train/bus

Et en pratique…

On actualisera la carte ci-dessous et vous pourrez voir où on est vraiment passés.